Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 3 ans
Il est une heure du matin. J'ai fait deux heures de route dans le nord avec ma foutue bagnole et, tout ça pour me retrouver perdu devant ce hangar le coeur battant et la queue bandée aussi dure qu'une barre de fer! Qu'est ce qui m'a donc pris de répondre à cette annonce. «Hommes dominateurs cherchant autres hommes pour trip de gang... etc.», que ça disait. Je ne sais même pas combien ils sont. Tout ce que je sais c'est qu'ils sont dominateurs, que la plupart sont barbus, très virils et sûrement bien cochons. Bon, eh bien, qu'est ce que je fais? Y'a pas l'air d'avoir un chat. Il semble y avoir un peu de lumière à l'intérieur...
Je me dirige lentement vers l'entrée principale. Elle est bien fermée et semble barrée de l'intérieur. Je décide de contourner le bâtiment afin d'y trouver un entrée latérale. J'aperçois une porte, saisis la poignée, je n'ai pas encore commencé à la tourner que je suis assailli par derrière. Je sursaute et tente de me retourner, mais deux bras puissants retiennent mes mains derrière mon dos alors que deux autres mains s'appliquent à me bander les yeux. Je tente de crier mais mon cri est aussitôt étouffé par un foulard que l'on me noue sur la bouche. On m'attache immédiatement les mains derrière le dos, avec ce que je crois être des lanières de cuir, pour ensuite me pousser brutalement à l'intérieur du bâtiment.
Un homme, au fond de la pièce, dans la pénombre me lance: «Alors c'est toi le p'tit nouveau? T'as pas mal de "guts" de te pointer ici, seul. Tu sais pas dans quoi tu t'es embarqué, hein?» À ce moment il s'est approché, je ne pouvais distinguer son visage à demi caché par un masque, il s'est alors emparé de ma chemise et d'un coup sec l'a déchirée, exposant ainsi complètement mon torse trempé de sueur. Je respirais profondément tentant de garder mon calme. Malgré que la situation était angoissante je sentais l'excitation envahir le bas de mon ventre.
«Hé, dis donc, t'as chaud? T'es complètement trempé. Hé! Les gars, le p'tit nouveau est nerveux. J'aurais besoin d'aide pour le calmer!»
Toujours tenu par derrière, deux langues commencent à se promener sur mon corps. Deux langues chaudes qui parfois s'attardaient sur mes seins ou qui parfois tentaient une incursion sous mes bras immobilisés pour ensuite revenir mordiller mes pectoraux, descendre jusqu'à mon nombril et tenter de s'infiltrer sous la taille de mon jean. Je croyais que les boutons de ce dernier allaient éclater! «J'crois que le p'tit aime un peu trop ça. Va falloir passer à autre chose...» dit l'un d'eux. «Ouais, amène-le et attache-lui les mains après les chaînes là-haut.»
Je reconnais la voix de celui qui m'avait déchiré la chemise et qui semblait être le leader du groupe.
Quelques instants plus tard, je me retrouvai les bracelets fixés à des chaînes et les bras bien écartés au-dessus de la tête. On eut la «gentillesse» de retirer le foulard qui m'entravait la bouche, à la condition que je me la ferme, ce à quoi je me conformai immédiatement... «Non, mais regardez-moi ça. Y'é bandé ben dur le cochon!»
Sur ces paroles, le leader s'approcha et saisit la fourche de mon jean qu'il serra et manipula sans réserve et, à ma grande surprise, appliqua en même temps sur ma bouche, un de ces baisers brûlants qui te font oublier toutes les misères du monde! Sa langue explora ma bouche dans ses moindres recoins pour ensuite glisser le long de mon menton, parcourir mon cou et remonter jusqu'à mon oreille où elle s'y engouffra. Je sentais mes jambes défaillir et me retrouvai littéralement suspendu à mes chaînes.
Alors que je sentais encore sa langue, ses lèvres, sa barbe et son souffle chaud parcourir mon torse du nombril aux aisselles, deux mains commencèrent à manipuler fermement mon postérieur. Je crus entendre un craquement. Mon jean cédait sous le travail d'outils et de mains expertes. Je sentis tout d'abord un doigt s'infiltrer à l'intérieur de mon jean et s'attarder à mon anus. Puis, d'autres doigts pénétrèrent et, tout comme pour la chemise, le jean céda d'un coup, libérant la presque totalité de mon cul.
«Hé, les gars! À ceux que ça intéresse, y'a un cul icitte qui demande probablement juste à se faire manger!»
«Moé j'pense qu'y demande plutôt à se faire fourrer!» répondit quelqu'un qui n'avait encore rien dit. «Ça fait que prend ton fun, mange-le pis laisse moé l'défoncer après!»
Sur ces mots, le gars qui avait déchiré mon jean s'approcha par derrière alors que le leader, toujours devant moi, se colla. Me retrouvant entre ces deux mâles, je ne pouvais qu'éprouver une intense excitation. Le leader frottait son torse poilu contre le mien, tout en f o r ç a nt son genou contre ma fourche bien durcie. L'autre, barbu lui aussi, frottait son torse dur, lisse et trempé de sueur contre mon dos. Les deux s'échangèrent de longs baisers tout près de mon oreille avant de s'attarder chacun sur mon cou. Celui qui était derrière se baissa. Je sentis sa langue parcourir mon dos et glisser doucement entre mes fesses, f o r ç a nt ainsi un gémissement à sortir de ma bouche, gémissement qui fût aussitôt étouffé par celle du leader...
Alors que cette langue explorait à nouveau ma bouche, une autre se mit à «introspecter» sérieusement mon cul, se promenant d'une fesse à l'autre, s'attardant parfois à mon anus pour ensuite glisser entre mes jambes et vers mes gosses, puis revenir et pénétrer brusquement dans mon intimité la plus profonde.
J'étais complètement submergé. Je me sentais incapable de refuser quoi que ce soit à ces hommes qui me dominaient de la sorte. Malgré mon état d'excitation, je percevais parfois des bouts de conversation: «Envoie, manges-y l'cul! Y'aime ça au boutte.» «Attends que j'y mettre ma bite dans le cul, on va voir si y va jouir autant...» «Avec la bite que t'as, j'pense que j'vais m'arranger pour y loger la mienne dans bouche quand tu vas le fourrer sinon on risque de l'entendre de loin...» Ha! Ha! Ha! Celui qui me mangeait le cul se retira me laissant reprendre mes esprits. Le leader, qui se tenait toujours devant moi, colla son corps poilu et glissant sur le mien, me saisit par les cuisses, souleva mes jambes et commença à frotter le gland de sa queue bien bandée sur mon anus.
«Graissez-moi c'cul-là les gars, j'voudrais pas l'abîmer surtout qu'y'en a quatre autres qui vont suivre!»
Aussitôt une main s'appliqua à m'enduire l'anus de lubrifiant pour ensuite s'appliquer à bien graisser la queue impatiente qui se dressait tout près. Le leader qui me soulevait maintenant par les fesses s'affairait à les écarter. Un doigt pénétra doucement puis se retira. Ensuite s'aventurèrent à leur tour deux doigts pour se retirer après quelques instants. Je sentis alors un souffle chaud dans mon cou en même temps qu'une vague de chaleur envahissait mon cul. Je cédais maintenant devant la poussée lente mais puissante d'une verge gonflée et avide de passer à l'action...
Soudain, sans avertissement ce fût le déchaînement. On se mît à me fourrer à un rythme démentiel. Toujours suspendu par les chaînes, je ne pouvais faire autrement que de subir cet assaut sauvage et animal. «Haaaa! Je vais te donner ça dans l'cul comme tu l'mérites, mon cochon! Ostie qu'c'est bon. Ma verge dans ton p'tit cul chaud. Haaaaaaaa!»
Ce manège dura quelques minutes pour finalement aboutir à une éruption digne de la f o r c e de l'assaut. N'étant pas remis de mes émotions, deux mains m'empoignèrent les fesses et à nouveau je sentis une queue s'insérer entre celles-ci, mais par derrière, cette fois ci. Ce second assaut était aussi v i o l ent que le premier. Mon cul commençait maintenant à s'accoutumer à ces viriles incursions. Je n'avais maintenant que le désir d'écarter encore plus les jambes et de laisser s'introduire l'intrus qui tentait de me défoncer.
Le mâle qui m'enculait poussa soudain un gémissement et je sentis le liquide chaud se répendre sur mon dos, mes épaules et ma nuque. Au même moment un autre qui se masturbait devant moi éjacula sur mon torse et mon ventre. Un nouveau gars me saisit le cul par derrière. J'entendis des bruits devant moi. On approchait une chaise. Je me demandais ce qui allait maintenant se passer. Je ressentis soudain une douleur à mon anus. C'est le mâle à la «grosse bite», me dis-je. J'eus l'impression d'être littéralement empalé. La douleur fût telle que je tentai de pousser un cri mais une queue bien bandée s'engouffra dans ma gorge étouffant ce dernier.
C'est en gémissant et en me tortillant autant que possible que je tentai en vain de me soustraire à cette t o r t u r e . Mon corps, complètement trempé, n'était plus supporté par mes jambes que je ne sentais d'ailleurs plus et cette immense queue qui allait et venait dans mon cul me faisait complètement oublier celle qui allait et venait dans ma bouche. Cette dernière se retira après quelques instants et m'explosa en pleine figure. J'ignore pourquoi mais, malgré tout, j'eus le réflexe d'ouvrir la bouche pour tenter de goutter la saveur de ce doux nectar. L'autre continuait toujours à me défoncer. Il colla son bassin contre mes fesses et tout en continuant son va-et-vient, entreprit de défaire le devant de mon jean libérant ainsi ma queue qui ne demandait plus qu'à jouir maintenant.
Je sentais son souffle chaud dans mon cou qu'il mordillait sans relâche. Il me masturbait tout en me fourrant virilement. Il s'approcha de mon oreille et me dit doucement qu'il allait bientôt venir. Il n'en fallait pas plus pour que je sente de v i o l entes secousses envahir mon corps. Ce fût le seul moment où je parlai: «Haaaaa! J'vais venir. Donne-moi ça dans l'cul! Plus fort Ha oui! Haaaa! Haaa! Haaa! Haaaa!»
«T'aimes ça mon cochon, hein? Tiens, prends ça dans le cul! Haaa! Haaa! Haaa! Haaa!» Après être venu il se retira, on me détacha et épuisé je m'écrasai au sol pour me réveiller péniblement dans mon lit, réalisant que le cadran sonnait, que je devais aller travailler et que je venais de faire le rêve le plus cochon de ma vie!!!
CLagoya
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Vous, vous avez rêvé. Mais moi j'ai la chatte bien humide. Merci pour ce plaisir que je viens d'avoir en vous lisant. Je vais me terminer | |
Ta bite bien dressée, je veux bien l'avoir dans mon ptit trou pour que tu me défonces |
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